C’est caché derrière des termes acceptables, les concepts attrape-couillons du moment, mais ça ne trompe pas les individus lucides formés par les attaques terroristes successives (djihadisme, covid, inflation) des ingénieurs sociaux du Système : le gouvernement mondial, dont le barycentre se situe entre les quatre cavaliers de l’Apocalypse Soros-Gates-Fauci-Schwab et les sept membres du G7, nous prépare un futur sinistre où l’on disposera de moins d’énergie, moins d’eau, moins de bouffe. De moins de vie, en somme.
Officiellement, ce sera, c’est pour préserver la Nature, la biodiversité ; officieusement, pour se débarrasser de neuf êtres humains sur dix, jugés surnuméraires. Il ne restera que les maîtres du monde biodivers et quelques centaines de millions d’esclaves pour faire tourner le Système, avant que la robotique et l’IA ne remplacent ces derniers survivants. Une sorte d’Auschwitz, mais technologiquement avancé.
Pour cela, il faut faire comprendre aux masses humaines qu’elles sont responsables de la dégradation de la Terre et du climat. Et pour mieux les préparer à l’acceptation de leur propre disparition, rien de mieux que le chômage endémique (vous ne servez à rien), la dépression (vous êtes foutus), la perte de sens (il n’y a plus de Dieu), et les drogues (on oublie tout).
Chez nous, le plan est le suivant : la température va augmenter de 4 degrés, il faut se tenir prêts. Les médias, en manque permanent de psychose, leur drogue dure, lancent le scénario.
C’est repris officiellement par le politique, qui de toute façon a déjà envoyé ses ordres au médiatique.
Le petit Béchu est très sérieux, quand il nous présente sa « trajectoire de réchauffement de référence pour l’adaptation au changement climatique » :
« Seules les zones de montagne et le littoral de la Manche resteront quasi épargnés… C’est à la fois un outil d’accélération de la prise de conscience et la base d’un référentiel commun à tous des risques auxquels se préparer . »
Le médiatique fabrique de la psychose, et le politique fabrique du risque. France Inter embraye avec une photo de sol nu avec un arbre mort ressemblant à un crocodile, censée évoquer l’aridité (en fait un lac de retenue dont le niveau est bas, donc un sol sans doute assez humide !).
Dans ce scénario, les canicules pourraient durer jusqu’à deux mois et certaines zones particulièrement exposées (arc méditerranéen, couloir rhodanien, vallée de la Garonne) pourraient connaître jusqu’à 90 nuits tropicales par an. Le gouvernement s’attend à des pluies extrêmes plus intenses, notamment sur une large moitié nord, et des épisodes de sécheresse de plus d’un mois l’été dans le sud et l’ouest.
Quand on pense que la canicule de 2003 a fait 15 000 morts en France sur 2 semaines, là, on devrait aller vers les 100 000, ce qui fera de la place dans les Ehpad, comme le covid non soigné en 2020…
On le voit, tous les moyens sont bons pour, au prétexte de la vie, limiter la vie, et détruire des vies. Déjà, le nombre des naissances a chuté en France, ce qui est bon signe pour les mondialistes, alors que nous étions, avec la catholique Irlande, le pays le plus prolifique d’Europe. La dépression gagne, économiquement et psychologiquement !
Quelles solutions ? À part mettre tout de suite en cage les quatre croulants de l’Apocalypse et les sept pseudo-maîtres du monde, il reste à trouver un chalet en montagne et à faire pousser son jardin potager, à la Voltaire. Sinon alimenter son PEC (Plan épargne climat), comme le préconise le brillantissime Bruno Le Maire.