De source non autorisée, la nouveauté médicale dans l’air du temps politicien serait la mise au point d’un test anal qui serait largement et amplement distribué aux français en vue des Présidentielles.
C’est que la pandémie de Covid 19 a donné de l’idée aux différents états-majors en conseils politiques des candidats : la docilité inattendue des français à la mise en veilleuse de toutes leurs libertés par la peur a ouvert le champ à de nouvelles perspectives exploitables dans le contrôle de l’opinion sous une apparence de Démocratie par les sentiments : peur, fausse raison, manipulation de la réalité avec la complicité de la doxa journalistique-propagandiste, mirage de discours bonimenteurs destinés à n’être jamais suivis d’actes conséquents, le panel est large qui vise l’obtention frauduleuse du consentement.
Institut Montaigne, Conseil d ‘Analyse et Economique, Conseil Scientifique, Fondapol et bien d’autres auraient montré l’utilité en matière de prévision politique d’outils destinés à vérifier les facultés et dispositions naturelles d’une population à se faire mettre en fonction du mensonge qui lui est donné à entendre et croire.
En toile de fond, la question qu’aimerait maitriser tout politicien : pourquoi est-on prêt à croire un Macron qui bonimente comme un commercial sur une estrade de champs de foire à déblatérer comme un chameau que la France va bien suite à son action, plutôt qu’un Zemmour qui dit la vérité quand il annonce que tout va mal et qu’un nouveau quinquennat macroniste achèverait le malade comme il est dit des Diafoirus dans Molière ???
Dit autrement, pourquoi une majorité de français serait prête à se faire mettre à nouveau en tendant les fesses pour une nouvelle dose de 5 ans de sédatifs immunisants conduisant aux Paradis artificiels, plutôt que de se retrousser les manches du réel pour y mettre la main – NB précision : « y mettre la main au redressement du pays- ???
Posé en ces termes, on comprend que le sujet soit pris au sérieux, l’un des points d’accroche des experts restant la détermination du seuil à partir duquel se faire mettre volontairement en douceur devient si douloureux que le sujet devient rétif, avec le risque de chaos social et politique qui pourrait s’ensuivre : le mouvement des gilets jaunes a montré que tout le monde n’est pas prêt à se faire mettre à n’importe quel prix et pour n’importe quoi.
De source ici encore non autorisée, le test anal a été testé – c’est le cas de le dire- sur une grande partie de la classe politique française concernant plusieurs points qui justement ne font pas consensus dans l’opinion, révélant des fractures susceptibles de conduire à une guerre civile larvée ou active à la manière libanaise ou balkanique.
Ainsi au sujet de musulmans et de l’Islam, tant l’ensemble de la gauche française que les écologistes ainsi que les centristes au sens large comprenant les macronistes et les républicains ont-ils passé haut la main le test, montrant ainsi leur capacité à se faire mettre, certains et certaines même avec ardeur, Coran en mains et babouches aux pieds, par l’ensemble du monde islamique.
De bien mauvaises langues affirment qu’ils seraient déjà soumis, or il ne faudrait pas répandre cette idée-vérité dans l’opinion publique du pays : la France étant actuellement à la recherche d’un sauveur, on voit mal ces récipiendaires prendre l’image du Sauveur à se faire mettre par les derniers de cordée de la première mosquée venue, même si en privé ils montrent qu’ils en sont friands.
De leur côté Madame Le Pen et Monsieur Zemmour n’ont pas souhaité passer ce test, étant suffisamment équilibrés dans leur esprit pour savoir d’avance qu’ils échoueraient haut la main à cette mascarade, ce qui les enorgueillit : il vaut mieux prêter le flanc aux critiques des chiens qui aboient de loin que les fesses à se faire mettre par les caravanes des guignols qui vous passent sous le nez, c’est d’ailleurs devenu le crédo de tout résistant de souche de ce pays et on a vu fleurir des pancartes dans l’espace public arborant fièrement la question : « qui ? » avec une belle paire fessière dessinée au feutre mou à côté d’une liste de noms parmi les plus en vue du monde politique actuel.
Renseignement pris, nous avons eu la surprise d’apprendre qu’il s‘agit d’un nouveau pari de la Française des jeux lancé par une Cassandre qui prédit un bon chiffre d’affaires à venir : commercialisé chez votre plus proche buraliste, il s’agira de gratter après tirage afin de deviner à qui appartient la paire dans la liste de noms qui figure sur le bulletin.
Enfin les Insoumis y ont été de leur copieuse différence en affirmant que de toutes les manières les musulmans finiront créoles, ce qui a créé un émoi sans nom à l’heure de la prière dans toutes les mosquées de France : à l’idée de ressembler à l’avenir aux subsahariens, les musulmans Moyen-orientaux et d’Afrique du Nord commencent à penser que seul Zemmour serait apte à les protéger et endiguer leur créolisation en stoppant la submersion migratoire, et un mouvement d’opinion envers ce dernier se dessine chez tous les Imans du pays. Des optimistes se demandent si on ne serait pas face à une première grande enjambée vers l’assimilation.
L’un des arguments pour la généralisation du test anal est qu’il favoriserait l’analyse du vote blanc et de l’abstention, strate de la population qui s’est déjà fait mettre au moins une fois, et hésite avant sa pénultième dose comme disent les membres -sic- du Conseil scientifique et du Conseil de défense.
En posant les interrogations et attentes de la population après la mise en place du test sur une séance de deux ou trois heures permet de savoir ce qui crispe l’électorat, ainsi un simple réflexe nerveux permet d’orienter le discours politique, sachant que la parole ainsi orientée ne sera jamais suivie d’actes :
Il n’est pas question par exemple, pour les 80 % de la classe politique française déjà soumise à l’Islam – les multiples test annaux confirment cette soumission, c’est scientifique – de remigrer tous les musulmans, ni d’interdire le Coran, la Charia et les Hadiths, qui pourtant sont totalement contraires à toutes les valeurs françaises ou Européennes.
Simplement s’il apparait qu’une majorité des réfractaires au vote voudrait l’interdiction de l’Islam au pays de Jeanne d’arc, en avoir connaissance permettra aux politiciens de faire comme s’ils avaient la volonté d’agir en ce sens, juste pour passer la période électorale comme il en va depuis 60 ans maintenant, depuis que de Gaulle est parti en gros. Les Républicains sont passés maitres dans les mensonges électoraux, tout le monde se rappelle le karcher.
Signalons toutefois la levée de boucliers des métiers de bouche : ils voient d’un très mauvais œil cette classe politique qui viendrait leur voler la vedette et la recette-clientèle à tailler la pipe et la bavette à leur place. Bruno Lemaire a beau promettre des aides pour passer la période toujours délicate des Présidentielles, rien n’y fait, les métiers de bouche crient à la concurrence plus que déloyale au motif que le politicien n’est pas assujetti aux mêmes taxes et prélèvements obligatoires quand il taille la pipe.
De leur côtés les agents des services hospitaliers alertent sur la situation des établissements de santé : si les politiciens se mettaient en tête de passer en force comme ils le font parfois dans nos chambres, et circonvenir ainsi une grande majorité des français qui s’y refuseraient, les hôpitaux déjà saturés et les soignant déjà fatigués seraient incapables d’absorber une telle nouvelle vague, savoir ceux qui auraient trop forcé pour ne pas se faire mettre justement.
Il s’ensuivrait un véritable problème de santé publique si 10 ou 15 millions de citoyens se voyaient dans l’impossibilité de s’asseoir pendant une période plus ou moins longue, obligés de stationner debout ou allongés.
Le patronat crie également au risque de déstructuration de l’outil de production français, et les principaux dirigeants des centrales syndicales n’y sont pas allés par quatre chemins si les salariés devaient se faire mettre une fois de plus sans contrepartie : il n’est pas question que l’ouvrier ou l’employé soit le seul dans cette situation, c’est tout le monde ou personne qui devra se faire mettre, y compris les plus riches.
Ils auraient ajouté off que si le salariat doit se faire mettre, il faudra bien quelque chose au bout, ce qui en a réjoui plus d’un du bon mot, car l’expression « quelque chose au bout » a bien sûr fait florès dans divers milieux toujours réfractaires et libertaires qui auraient rétorqué que « se faire mettre sans quelque chose au bout relèverait de l’utopie et des absentes. On savait la gauche française utopiste à croire au bien-vivre ensemble avec le monde musulman car ils n’arrivent pas à comprendre la psyché haineuse qui se façonne à la lecture et l’étude du Coran et autres écrits coraniques, mais imaginer que l’on puisse se faire mettre sans rien au bout, c’est du même tonneau que le rêve d’un monde meilleur que ferait un Chrétien ou un Juif qui iraient s’installer en espace mahométan. Il faudra bien que les centrales syndicales s’y fassent, quand on se fait mettre, c’est qu’il y a toujours quelque chose au bout, et demander plus relève du cul mule de mandat ! ».
On le voit, les Présidentielles 2022 agitent tous les esprits comme jamais depuis le début de la cinquième République : chacun sait maintenant les enjeux et beaucoup commencent à penser que l’économie doit passer au second plan pour ne plus se faire avoir dans la mort du pays et de notre civilisation : le grand Remplacement est déjà largement entamé avec son corollaire immédiat de Grande Haine qui commence à se concrétiser dans le génocide des blancs français de souche, il suffit de regarder alentour dans l’espace public et de suivre les faits divers rubrique crimes et délits dans la presse régionale, 80 % de la presse nationale étant aux ordres et mentant comme les politiciens qu’elle sert pour passer tout sous silence, y compris la multiplication d’attaques d’églises par on ne sait jamais qui.
Plus grave, aucun organisme d’état ne veut envisager le parallèle entre la montée des attaques de blancs et l’exponentielle croissance de la délinquance des allogènes couplée avec leur haine de la France et la ruine financière par l’endettement du pays.
Gageons qu’un test annal n’y fera rien, et que ce n’est pas parce qu’on ausculte le cul de l’électeur comme les politiques le font des vaches dont ils viennent flatter le croupion au Salon de l’Agriculture à chaque élection, que celui-ci n’aura plus sa tête : le choix se pose désormais en ces termes, il est n’est plus question de petit confort avec la classe politique soumise, mais de survie avec la reconquête du pays et les expulsions de tous les indésirés qui nous ont été imposés de force.